Gérard Depardieu : Mon rêve ouzbek

À l'occasion d'un voyage « initiatique » en Ouzbékistan, Gérard Depardieu part à la recherche des marques des civilisations passées et des empreintes qu'elles ont laissées dans les principales villes du pays : Noukous, Khiva, Boukhara, Samarcande, Ferghana et la capitale Tachkent. Il découvre le pays librement, tel un voyageur et non un touriste, allant de lieu en lieu, pour suivre un conseil, une envie ou le récit d'un livre. Gérard Depardieu raconte l'histoire méconnue de ce pays et va chercher la petite histoire dans la grande auprès de guides locaux qui partagent anecdotes et découvertes surprenantes.

Ce voyage qu'il fait seul fait résonner en lui de nombreuses réflexions qu’il dit à voix haute sur des images magnifiques. Il parle de la tolérance, de l'Islam modéré compatible avec la laïcité, des religions, de la prière, de la mort, de l'écologie, du désert, des guerres, de la beauté... « Constater que malgré toute cette mosaïque de peuples, fruit des invasions et des déplacements de populations, l’Ouzbékistan a bâti une vraie tolérance. Constater que malgré la terreur stalinienne, on a sauvé un trésor culturel. Constater que malgré la catastrophe écologique de la mer d’Aral, le pays trouve des solutions. Constater qu’un Islam tolérant et ouvert existe, tel est le sujet du film. » Arnaud Frilley